METZ (57) 18.09.2019
Résumé
Observation d'un phénomène stationnaire de forme triangulaire blanc et jaune à sa base dans le ciel matinal : manque d'informations fiables.
Description
Le témoin se rendant à son travail le 18 septembre 2019 en tout début de matinée, observe dans le ciel un objet de la forme d'un triangle équilatéral blanc avec une zone jaune à sa base. Le PAN est immobile et sera observé durant 10 secondes. Puis, le témoin poursuit son chemin. Lorsqu'il regarde de nouveau le ciel, le PAN a disparu. Un seul témoignage sera recueilli.
Si les deux hypothèses explicatives les plus plausibles envisagées en fonction des éléments recueillis sont compatibles du comportement du PAN (immobilité apparente), elles s'avèrent bien insuffisantes au regard de la description fournie (voir le compte rendu d'enquête). En effet, ces deux hypothèses, respectivement un « écarteur sur grue » (ou » palonnier ») et une « trainée de condensation d’aéronef » ne permettent de rendre compte que trop partiellement de la description fournie par le témoin. De fait, l'étrangeté demeure assez élevée.
Du fait des investigations menées, tant à distance que sur site, la quantité d'informations recueillies est plutôt satisfaisante. Cependant, l'absence d'autre(s) témoin(s) ainsi que l'absence de tout autre élément objectif (photos ou vidéos du PAN) ne permettent pas de renforcer la consistance du cas. Le témoin est assez imprécis (doutes liés à ses propres recherches ?) dans ses estimations pour décrire le phénomène : certaines données évoluent involontairement au cours de l’enquête (taille apparente, azimut, hauteur, forme, …).
Enfin, même si la coopération du témoin à l’enquête a été concrète, la fiabilité du témoignage semble dégradée par le fait qu’il a pu être influencé par un environnement ufologique lié à ses recherches personnelles pour comprendre l’observation, ceci avant et après celle-ci. Il est sans aucun doute sincère sur le fait d’avoir observé quelque chose d’inhabituel, mais il semble chercher à convaincre (et se convaincre lui-même) du caractère insolite de sa vision.
De par son étrangeté résiduelle non expliquée, ce cas présente un réel intérêt, mais sa fiabilité a été probablement affectée ce qui en diminue la consistance.
Le GEIPAN classe de cas en C par manque d’informations fiables.
Si les deux hypothèses explicatives les plus plausibles envisagées en fonction des éléments recueillis sont compatibles du comportement du PAN (immobilité apparente), elles s'avèrent bien insuffisantes au regard de la description fournie (voir le compte rendu d'enquête). En effet, ces deux hypothèses, respectivement un « écarteur sur grue » (ou » palonnier ») et une « trainée de condensation d’aéronef » ne permettent de rendre compte que trop partiellement de la description fournie par le témoin. De fait, l'étrangeté demeure assez élevée.
Du fait des investigations menées, tant à distance que sur site, la quantité d'informations recueillies est plutôt satisfaisante. Cependant, l'absence d'autre(s) témoin(s) ainsi que l'absence de tout autre élément objectif (photos ou vidéos du PAN) ne permettent pas de renforcer la consistance du cas. Le témoin est assez imprécis (doutes liés à ses propres recherches ?) dans ses estimations pour décrire le phénomène : certaines données évoluent involontairement au cours de l’enquête (taille apparente, azimut, hauteur, forme, …).
Enfin, même si la coopération du témoin à l’enquête a été concrète, la fiabilité du témoignage semble dégradée par le fait qu’il a pu être influencé par un environnement ufologique lié à ses recherches personnelles pour comprendre l’observation, ceci avant et après celle-ci. Il est sans aucun doute sincère sur le fait d’avoir observé quelque chose d’inhabituel, mais il semble chercher à convaincre (et se convaincre lui-même) du caractère insolite de sa vision.
De par son étrangeté résiduelle non expliquée, ce cas présente un réel intérêt, mais sa fiabilité a été probablement affectée ce qui en diminue la consistance.
Le GEIPAN classe de cas en C par manque d’informations fiables.