[D2] de SAINT-ANDEOL-LE-CHATEAU (69) vers GIVORS (69) 07.12.2017
Résumé
Observation depuis un véhicule en mouvement et à travers un smartphone d'une petite tâche circulaire de couleur verte fluorescente dans le paysage : artefact photographique.
Description
Le 07 décembre 2017 à 15h12 un témoin dans un taxi scrute et photographie les nuages avec un smartphone. Une tache circulaire de couleur verte fluorescente qui ne semble pas bouger ou va à la même vitesse que le taxi l'intrigue particulièrement. Le témoin prend plusieurs photographies puis un peu plus tard sur son trajet fait une vidéo. Un seul témoignage est recueilli.
Le témoin est à la recherche "d'élémentaux" où "êtres de la vie " et il croit en trouver un qui le suit dans le paysage et dans les buissons le long de son déplacement en taxi.
En fait, il est manifeste que le témoin se fait méprendre par un reflet de soleil créé par son appareil photo smartphone. Sur la photo à 15:16:29 le soleil est décalé du centre et la tache ou PAN légèrement vert avec halo est le classique reflet créé par l'optique imparfaite qui reproduit (en moins lumineux) en symétrie du centre de l'image tout point extrêmement lumineux, ici le soleil. Dans la photo à 15:16:42 où le soleil n'est pas au centre non plus, le reflet existe aussi mais tombe dans une zone déjà très éclairée de l'image (le nuage lumineux) et donc n'apparaît pas. Dans la photo à 15:16:18, le reflet tombe dans le buisson en premier plan.
On vérifie le même phénomène sur la partie vidéo.
Le Geipan ne prend plus les témoignages d'étrangetés issues de ce qui est seulement vu dans un écran d'appareil et non avec les yeux. On aurait pu penser que le témoin avait vérifié avec les yeux puisqu’il écrit "J'ai alors vérifié en décalant mon écran pour regarder cette curieuse tâche verte dans les buissons et que la tâche existait bel et bien". L’analyse de l'ensemble du témoignage nous conduit à ne pas accréditer cette vérification :
- d'une part le témoin ne fait aucune différence entre le PAN qui serait vu hors optique (avec les yeux) et celui qui existe vraiment dans l'écran et qui est créé par l’optique
- d'autre part le témoin montre une telle avidité à trouver de l'anormal dans le paysage que l'on peut douter de son esprit critique. Peut être à son insu, il croit avoir retrouvé la lueur à l’oeil nu dans le buisson, de manière fugitive, et sans avoir cherché à s'en assurer.
Les traces photos données par ce témoignage traduisent sans équivoque l’observation d'un artefact.
En conséquence le Geipan classe le cas en A : artefact photographique (soleil).
Le témoin est à la recherche "d'élémentaux" où "êtres de la vie " et il croit en trouver un qui le suit dans le paysage et dans les buissons le long de son déplacement en taxi.
En fait, il est manifeste que le témoin se fait méprendre par un reflet de soleil créé par son appareil photo smartphone. Sur la photo à 15:16:29 le soleil est décalé du centre et la tache ou PAN légèrement vert avec halo est le classique reflet créé par l'optique imparfaite qui reproduit (en moins lumineux) en symétrie du centre de l'image tout point extrêmement lumineux, ici le soleil. Dans la photo à 15:16:42 où le soleil n'est pas au centre non plus, le reflet existe aussi mais tombe dans une zone déjà très éclairée de l'image (le nuage lumineux) et donc n'apparaît pas. Dans la photo à 15:16:18, le reflet tombe dans le buisson en premier plan.
On vérifie le même phénomène sur la partie vidéo.
Le Geipan ne prend plus les témoignages d'étrangetés issues de ce qui est seulement vu dans un écran d'appareil et non avec les yeux. On aurait pu penser que le témoin avait vérifié avec les yeux puisqu’il écrit "J'ai alors vérifié en décalant mon écran pour regarder cette curieuse tâche verte dans les buissons et que la tâche existait bel et bien". L’analyse de l'ensemble du témoignage nous conduit à ne pas accréditer cette vérification :
- d'une part le témoin ne fait aucune différence entre le PAN qui serait vu hors optique (avec les yeux) et celui qui existe vraiment dans l'écran et qui est créé par l’optique
- d'autre part le témoin montre une telle avidité à trouver de l'anormal dans le paysage que l'on peut douter de son esprit critique. Peut être à son insu, il croit avoir retrouvé la lueur à l’oeil nu dans le buisson, de manière fugitive, et sans avoir cherché à s'en assurer.
Les traces photos données par ce témoignage traduisent sans équivoque l’observation d'un artefact.
En conséquence le Geipan classe le cas en A : artefact photographique (soleil).